L’équilibre parfait, c’est surfait. Sois vivante, pas lisse.
- Laetitia MIRALLES
- il y a 2 jours
- 3 min de lecture
Dernière mise à jour : il y a 14 minutes
On te dit souvent de « garder l’équilibre », de « rester alignée », de « maintenir la paix ». Mais à force de vouloir tenir debout, bien droite, bien lisse…
Tu finis par t’éteindre doucement.
L’équilibre, dans notre société, ressemble souvent à un cadre rigide, une performance invisible à maintenir à tout prix. Il faut être calme, stable, douce, conciliante…
Mais où est la joie là-dedans ? Où est ton feu sacré ?
Et où es-tu, toi, dans cette histoire ?
Moi, je crois que l’équilibre, le vrai, n’est pas un état parfait à atteindre.
C’est un mouvement. Un souffle. Une danse.
Parfois une chute libre, suivie d’un grand « ouf » de libération.

Perso, je sais que je m’éloigne de moi quand…
… je me ferme, je perds le goût de créer, de rire, d’être là.
Je me replie, je deviens floue. Je suffoque.
Et ce n’est qu’en acceptant de sombrer, sans résister, que je peux me reconnecter. Car avant de pouvoir reprendre appui sur le sol pour me propulser, il faut que j’y descende. Il faut que j’accepte de toucher le fond. D’arrêter de faire semblant, de me laisser traverser par mes émotions, même si elles sont brutes, désagréables, bordéliques.
La tristesse, la colère, la lassitude, la fatigue… toutes ont un message à me transmettre. Elles sont là pour me ramener à moi. Pas pour me noyer, mais pour me nettoyer.

Comment je rallume mon feu quand tout m’étouffe
Quand j’ai perdu pied, quand je suis vidée, quand je ne me reconnais plus…
Je reviens à moi, petit à petit.
Et souvent, la première étape, c’est de reposer mes limites.
Je reprends mon espace.Je refais entendre ma voix dans ma maison, dans mon couple, dans ma famille. Je cesse de me taire « pour le bien de tout le monde ». Je choisis de me respecter moi, avant d’être loyale aux autres. Parce que si je me trahis, je ne peux plus accompagner, aimer, ni même juste respirer.
Je rends à chacun ses responsabilités. Je rends les émotions que j’ai portées à leur place. Je libère ce qui ne m’appartient pas. Et là… ma clarté revient. Mon énergie personnelle se remet à circuler. Je me sens moins chargée, moins en tension, moins en guerre intérieure.
Revenir à sa douce folie, c’est se réautoriser à vivre
La joie. La légèreté. La spontanéité. La créativité.
Ce sont des fréquences naturelles de l’âme.
Mais elles ne s’invitent pas dans une maison trop pleine, trop sage, trop surchargée. Il faut parfois faire de la place en soi, faire du vide. Pleurer, hurler dans la voiture, bouger, créer, respirer, exprimer ce qui a été bloqué pendant trop longtemps.
Et dans ce vide nouveau… il y a la joie qui revient. Pas une joie forcée ou mise en scène mais une joie viscérale, libérée. Un rire qui part du ventre. Une pulsion de vie. Ta douce folie. Ton feu sacré. Ton vrai visage.
Et si tu osais toi aussi tout envoyer valser… pour mieux renaître ?

Et si tu laissais tomber cette idée de devoir toujours tout contrôler, tout contenir, tout assurer ? Et si tu choisissais, ne serait-ce qu’un instant, de t’honorer avant de plaire ?De respirer à plein poumons ? De te foutre la paix ?
C’est ce que je t’invite à faire dans mes accompagnements. On ne cherche pas à te remettre dans une case. On t’aide à sortir du moule, à rallumer ton feu, à reprendre ta place dans ton corps, ta vie, ton histoire.
Ici, on accueille les larmes, les craquements, les doutes — et on en fait des tremplins vers ta lumière.Tu viens comme tu es et tu repars comme celle que tu es venue incarner.
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